Date
7 janvier 2021 à 20:30
Lieu
Salle du Mont-Blanc (RER Les Baconnets)
Cycle
Si la démographie m’était comptée
Intervenant Gilles Pison, Professeur au Muséum national d’histoire naturelle, chercheur associé à l’Institut national d’études démographiques, rédacteur en chef de la revue Population et Sociétés.
Ancien élève de l’École normale supérieure, Gilles Pison est professeur au Muséum national d’histoire naturelle, chercheur associé à l’Institut national d’études démographiques, et rédacteur en chef de la revue Population et Sociétés.
Il mène des recherches sur les changements démographiques et sanitaires dans le monde avec un intérêt particulier pour l’Afrique au sud du Sahara.
Gilles Pison a conçu deux expositions scientifiques : 6 milliards d’hommes au Musée de l’Homme (1994), et également La population mondiale … et moi ? à la Cité des sciences et de l’industrie (2005). Il est, notamment, l’auteur de l’Atlas de la population mondiale (Autrement, 2019).
La conférence :
Près de 8 milliards d’humains en 2020… et combien demain ? Pendant des milliers d’années, l’homme a été une espèce rare dont le nombre augmentait lentement. Vers 1800 cependant, la population s’est mise à croître rapidement, d’abord dans les pays riches puis, à partir du XXe siècle, dans les pays pauvres. Cette période unique dans l’histoire de l’humanité devrait se terminer d’ici 2100. Quelles ont été les raisons de cette formidable croissance démographique ? Va-t-elle se poursuivre ? Comment s’explique la stabilisation annoncée ? A quoi ressemblera la population mondiale demain ?
Pour en savoir plus :
=> Accéder à l’enregistrement video de la conférence et des questions-réponses (lien actif jusqu’à la fin du cycle de conférences)
=> “La population mondiale”, concepts, informations, simulations (Gilles Pison), sur le site de l’Ined,
=> le descriptif de l’ouvrage de Gilles Pison “Atlas de la population mondiale – 2019”,
=> la notice sur Gilles Pison (biographie, bibiographie, émissions) sur France Culture,
=> un entretien avec Gilles Pison, enregistré en mai 2020 au Museum National d’Histoire Naturelle.